Le syndrome du cheval à bascule
💡 Pourquoi tu fais du sur-place alors que tu cravaches I ✍️ Checklist : dépasse ta peur de réussir (et de monter tes prix)
T’as déjà eu ce sentiment de passer tes journées à courir mais de faire du sur-place ?
Un peu comme Peanut, ce petit hamster qui tourne sans cette sans sa roue, dont je te racontais l’histoire cette semaine (oui, j’ai écrit un article sur un hamster 🐹, sans doute les effets de la canicule sur mon cerveau déjà en surchauffe).
On appelle également ça le syndrome du cheval à bascule : la sensation de bouger... sans avancer d'un centimètre.
Je décrypte ce syndrome (et je t’aide à t’en sortir) dans cette newsletter : c'est parti ⤵️
Vous êtes 8.883 abonné(e)s : merci de m’accorder votre confiance et 5 minutes de votre temps précieux 💜
Si tu viens d’arriver par ici, je partage chaque semaine en 5 minutes de lecture : 1 stratégie + 1 template ou 1 prompt pour réussir en solopreneur.
1️⃣ Tu bosses QUE pour les autres
Premiers signes que tu es victime du syndrome “cheval à bascule” :
☑️ Tu passes tes journées en mission client mais t’as pas écrit un post Linkedin en 2 ans
☑️ Tu livres des projets à la chaîne mais tu n'as toujours pas lancé ta newsletter
☑️ Tu réponds à tous tes prospects dans l'heure mais tu repousses toujours le lancement de ton produit
☑️ Tu pimpes des slides client jusqu'à minuit mais t'as pas le temps de paramétrer des agents IA pour faciliter ton travail
Bref, tu es tellement occupé·e à faire avancer les projets des autres que tu en oublies de construire TON propre business.
Ouch.
C'est ce que j'appelle le "paradoxe du freelance" : plus tu es expérimenté·e, plus tu as de clients... et moins t’as de temps pour bosser sur ton modèle.
2️⃣ Es-tu victime du "Fake work" ?
Autre série de signes du cheval à bascule : tu fais du faux travail, tel que le décrit Justin Welsh :
Allez voyons si tu te reconnais dans une de ces situations :
☑️ Tu passes des heures à peaufiner ton logo
☑️ Tu testes tous les nouveaux outils business
☑️ Tu lis 3 livres business par semaine (ou t’écoutes le Board depuis 5 ans mais t’es toujours pas passé·e à l’action)
☑️ Tu pimpes ton Notion ou ta to-do au lieu de prospecter
Toutes ces activités te donnent l'IMPRESSION d'avancer. Elles te procurent même un sentiment agréable de productivité (la joie du devoir accompli). Mais en réalité... elles ne génèrent AUCUN revenu.
C'est ce que j'appelle la "procrastination productive" : être très occupé·e à ne pas faire ce qui compte vraiment.
3️⃣ Pourquoi tu restes sur ton cheval de bois ?
Les causes les plus fréquentes de ce syndrome :
Perfectionnisme paralysant : "Je lancerai mon produit quand ma page de vente sera parfaite" → Pendant ce temps, d'autres se lancent avec un Tally et commencent à gagner de l'argent
La paralysie par l'analyse : "Je dois encore étudier mon marché" → Pendant que tu cherches, tes concurrents testent, ratent, apprennent et améliorent.
L'Illusion technologique : "Je dois d'abord maîtriser cet outil" → Les meilleurs outils ne vont pas t’aider si tu ne priorises pas le projet dans ton agenda
La formation perpétuelle : "Je ne suis pas encore prêt·e" → Spoiler : on n'est jamais "prêt·e" à 100%.
On n’apprend pas à surfer en regardant des vidéos de surf, mais en se prenant des vagues dans la gue*le.
4️⃣ Passer du fake work au real business
Une seule question à se poser :
"Cette activité va-t-elle m’aider à gagner de l’argent durablement et pendant longtemps ?”
Alors exit :
❌ Accepter une énième mission client juste pour se rassurer → Construis ton premier produit scalable
❌ Faire du sur-mesure à chaque client → Crée une offre standardisée
❌ Mettre à jour ton profil Malt (et cramer un cierge pour que l’algo t’envoie de bons leads) → Crée un média pour attirer des clients en continu
Si tu es prêt à lâcher ton cheval de bois pour chevaucher dans les stèpes sauvages du solopreneuriat (bon, j’arrête là la métaphore ça devient lourd, mais tu vois l’idée).
Eh bien j’ai une bonne nouvelle : comme j’étais en mastermind cette semaine, j’ai pas eu le temps de recevoir tous les candidats, donc j'ai prolongé l'offre early bird de mon Bootcamp Solopreneur jusqu'au 28 juin 🥳
En 12 semaines, tu vas sortir du "fake work" et du travail uniquement pour les autres.
Et te focaliser sur des actions qui rapportent :
• Créer ton premier produit scalable
• Développer tes premiers revenus passifs
• Mettre en place ton système d'acquisition et une orga en béton
Il me reste 3 places seulement.
Pour finir cette newsletter je vais répondre aux questions que j’ai reçues le plus souvent cette semaine sur le bootcamp 👇
“Quels sont les résultats concrets du bootcamp ?”
J'ai demandé à mes +60 alumni de bootcamp l'impact que le bootcamp a eu sur leur business depuis 3 ans - j’ai présenté les résultats dans ce post
▪️ 89% ont pris confiance en eux
▪️ 75% ont créé une offre en freelance (hors TJM)
▪️ 72% pris la parole en ligne
▪️ 67% ont monté leurs prix
▪️ 62% ont créé un produit
▪️ 61% ont délégué
▪️ 50% génèrent des revenus diversifiés
Pendant 3 mois, je me donne à fond pour que tu rentabilises ton bootcamp et que tu atteignes tes objectifs.
“Je ne pense pas que ta méthode marche pour moi “
J’ai accompagné plus de 30 professions à devenir plus scalable. Même des avocats, des photographes, ou des kinés.
D’ailleurs, je pensais à ça en publiant le nouvel épisode du Board cette semaine, l’histoire de Mathieu Cantet, le docteur solopreneur :
Si même un médecin arrive à scaler et à diversifier ses revenus, c’est bien la preuve que tout le monde peut scaler !
“J’ai trop de clients, j’ai pas le temps ”
Voici ce que Mathieu a réussi à mettre en place, tout en continuant ses consultations de médecin généraliste (150K€ / an) :
Il s’est formé sur une spécialité
Il a écrit un livre
Il a fédéré une communauté de plus de 20K abonnés sur ses réseaux
Il a lancé son podcast
Il l’a sponsorisé (10K€)
Donc oui, on peut scaler en parallèle de ses missions clients et obtenir de super résultats.
Pour ça, il te faut juste une méthode et un cadre efficaces : je te fournis ça pendant le bootcamp.
“6.900€ c’est cher ”
Je sais que pour beaucoup d’entre vous, investir dans le bootcamp constitue votre premier investissement de freelance.
ça m’a fait penser au dernier épisode de Solo Nation : ce rapport compliqué qu’on entretient avec l’argent en freelance (et avec notre propre valeur).
Et qui nous empêche parfois d'investir dans notre évolution (et bride notre réussite).
Un épisode must si tu veux faire la paix avec tes prix et ton estime de toi-même :
Quelques questions pour t’aider à approfondir la question :
Combien te coûte l'inaction ? combien ça te coûte chaque mois à vendre ton temps ? C’est quoi le prix de tes soirées et week-ends sacrifiés ?
Combien vaut ta liberté ? Pouvoir profiter des tes enfants ? ou partir à la plage en pleine semaine ?
Si tu as encore des questions sur le bootcamp, n’hésite pas à me les poser en commentaires :
Et pour te remercier de m’avoir lue jusqu’au bout, je t’offre justement une checklist récap des 100 conseils pour soigner ta peur de la réussit et de gagner de l’argent :
Merci de m’avoir lue et bon week-end à toi !
Et si cette newsletter t’a fait du bien, pense à la partager autour de toi.
Flavie
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